Découvrons les origines de Superman, alias Clark Kent, et sa vie dans Smallville...
Voilà ce que l'on nous invite à découvrir dans cette série qui tiendra quand même 10 saisons, score honorable il faut l'avouer. Smallville nous invite donc à découvrir les origines de Superman, du moins, durant son adolescence. Débutons :
Concentrons-nous sur le point le plus important de l'épisode : le scénario. Ici, on est directement pris dans le sujet, c'est-à-dire l'arrivée de Superman sur Terre... et ses fameux fragments de la météorite, comme il le dise, mais étant donné qu'elle sont vertes, vous savez très bien comme moi de quoi il s'agit. On découvre également durant cette introduction comment notre cher Lex Luthor est devenu chauve. Une anecdote assez sympa à raconter il faut l'avouer. Durant cette introduction, pas mal de chose sur les personnages vont changer, et ça sera le point de départ de cette série : Martha et Jonathan Kent, campés par des acteurs qui jouent plutôt bien leur rôle de père et mère, rencontre Superman, Lana voient ses parents mourrir juste devant son nez.
Après cette introduction assez accrocheuse, on fait une énorme élipse pour arriver justement à l'époque de l'adolescence de Clark. On découvre qu'il a déjà trouvé ses pouvoirs notamment la super vitesse, qu'il utilise assez abondament, mais également sa force et sa résistance. Il est également très important de préciser que son... père et sa mère jouent extrement bien le rôle de mentor. Durant l'épisode, notre héros va créer une relation... amicale avec Lex Luthor, OUI vous avez bien entendu, en le sauvant d'un accident de voiture, mais également avec Lana. Le grand méchant de cet épisode est un ado qui sait manipuler la foudre grâce au contact de la météorite. Mais fort heuresement, puisque ce n'est pas le cas partout ( je pense notamment à Agents of SHIELD ), cette histoire ne prend pas tout l'épisode. Ainsi, on a le droit à un travail très équilibré dans le scénario, pour la rendre plus accrocheuse. Tant mieux.
Du côté des acteurs, d'après l'épisode, il jouent tous plutôt bien. On sent que Clark est assez hésitant dans ces actes puisqu'il est différent de ce monde. Bon, rien à ajouter passons.
Le reste de cette critique va aller assez vite. Pour commencer, un point sur les effets spéciaux et les scènes d'actions. Ils sont très bien, ET surtout, très bien filmé. L'action est lisible, tout comme les effets spéciaux. Bon après, elles sont assez courtes, mais très impressionnantes, en voulant montrer la force de Clark. Passons.
Dernier point, la musique. Rock et orchestre. Cela rend la série à la fois très adolescente et moderne, à la fois mytique, même si il faut l'avouer, on retient pas du tout les thèmes de musique d'orchestre.
Conclusion :
Le premier épisode de Smallville est donc une franche réussite sur tout les points, bien que cela n'aille pas aussi haut que le premier épisode de Game of Thrones. Néanmoins, elle reste très accrocheuse et moderne, malgré son architecture type d'épisode de super-héros, car elle met en place des relations entre les personnages. Les effets spéciaux et les scènes d'actions sont bonnes pour vous faire passer un très bon moment. Que demander de plus ?
J'en profite également que pour un soucis d'organisation de la prochaine critique de la Visiozone, j'ai décidé de décaler la sortie à une semaine après. Vous comprendrez pourquoi le jour de la publication. Désolé également pour le léger retard.
Sur ce, à dans 3 semaines pour une prochaine critique de la Visiozone.
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